Rechercher
Rechercher

Pourquoi HSBC a acheté une parcelle du metaverse The Sandbox ?

metaverse hsbc sandbox web3 banques
HSBC est un symbole fort de l'appétit des banques pour les metaverses comme The Sandbox !

Sommaire : Pourquoi HSBC a acheté une parcelle du metaverse The Sandbox ?

HSBC rejoint la longue liste des entreprises qui se bousculent pour entrer dans le monde étrange des metaverse. Et quelle meilleure manière de s’engouffrer dans la faille que le fleuron des metaverse ? Il s’agit bien sur du Made In France (Cocorico !) The Sandbox.

  • HSBC rejoint la valse des entreprise qui arrivent sur le marché des metaverses.
  • The Sandbox continue d’être un leader du metaverse.
  • Les investissements dans le metaverse sont en réalités pour le Web3 dans son ensemble.

HSBC achète une parcelle du metaverse de The SandBox

C’est une déclaration rendue publique par l’entreprise française, en personne. Selon un billet de blog, HSBC, la banque d’origine britannique, fait désormais partie des propriétaires foncier du metaverse. En effet, elle a acquis une parcelle de terrain dans le monde virtuel de la start up française. Un espace qui sera développé pour divertir les professionnels du sport, de l’e-sport, des jeux et de la finance. Le futur du divertissement donc, pour une clientèle ciblée et étudiée.

Les détails sur la nature exacte de l’initiative étaient maigres, mais Suresh Balaji, directeur du marketing de HSBC pour la région Asie-Pacifique, a déclaré dans le communiqué que le metaverse « est la façon dont les gens feront l’expérience du web3, la prochaine génération d’internet. »

Malgré cette déclaration publique, peut d’informations ont filtrés. On peut néanmoins écouter ce que Suresh Balaji a à dire. En sa qualité de directeur du marketing d’HSBC pour la région Asie-Pacifique. Ce dernier a déclaré dans un communiqué que le metaverse était « la façon dont les gens feront l’expérience du Web3. La prochaine génération d’internet ». Et on ne peux que le rejoindre. Le metaverse, mêlé aux NFT et aux Play to Earn, voit un réel potentiel. Ces trois innovations isolés n’ont que des intérêts limités. Vendre des oeuvres d’arts extravagantes, jouer à des jeux ultra pixélisés, c’est amusant. Pendant un moment. Mais ces technologies prennent tout leur sens dans une fusion, dans une interopérabilité. C’est le graal du web3 pour le public. Car pour le privé et le B2B, les applications sont légions.

Le Web3, le graal de la révolution d’internet

Suresh Balaji poursuit ses propos ainsi : « Chez HSBC, nous voyons un grand potentiel pour créer de nouvelles expériences à travers des plateformes émergentes. Qui ouvriraient ainsi un monde d’opportunités pour nos clients actuels et futurs et pour les communautés que nous servons. »

Une image jointe au billet de blog représente une parcelle de terrain pixelisée, avec un stade de rugby aux couleurs de HSBC. Espérons pour les équipes du Royaume-Uni que le prochains tournois des 6 nations se joue dans le metaverse.

The Sandbox est une filiale d’Animoca Brands, la société de jeux de Hong Kong. La société a levé 93 millions de dollars lors d’un tour de table mené par SoftBank Vision Fund 2 en novembre de l’année dernière. Au delà de ces montants importants, The Sandbox est un des deux leaders de l’univers des metaverse. L’autre étant Decentraland.

Outre HSBC, des entreprises telles que Gucci, Warner Music Group et Ubisoft ont afflué dans le métavers de The Sandbox.

Son cofondateur et directeur de l’exploitation, Sébastien Borget, a déclaré que l’intérêt d’entreprises comme HSBC pour le métavers signale « le début d’une adoption plus large de web3 et du métavers par des institutions conduisant des expériences de marque et un engagement au sein de ce nouvel écosystème. »

(Visited 13 times, 1 visits today)